Élodie Oudot : une superbe développeuse web rejoint l’équipe !

Peux-tu nous raconter ton parcours ?

Quand j’étais petite, c’est-à-dire environ 1m10, je voulais être graphiste. C’était mon destin. Alors après un bac S option ISN (Informatique et Sciences du Numérique) j’ai rejoint les rangs du DUT MMI (Métiers du multimédia et de l’Internet) à Montbéliard. C’est un diplôme qu’on prépare en 2 ans et dont la formation se découpe en 3 axes : communication, graphisme et développement. C’était l’occasion de toucher un peu à tout et de voir si j’avais ma chance dans le domaine.
2 semaines de formation. C’est le temps qu’il m’a fallu pour comprendre que le graphisme n’était, finalement, pas ma destinée : d’autres élèves beaucoup plus talentueux que moi, etc… (Sans rigoler, ce moment de l’histoire est vraiment triste, tant d’espoirs réduits à néant…)
Je me suis donc plus concentré sur la partie développement de la formation, et me suis rendu compte qu’au final, le code c’était quand même plutôt cool. J’ai appris énormément de choses et passer de l’autre côté d’un site internet c’est encore plus enrichissant qu’on ne peut l’imaginer.
Ma formation m’a également permis de partir quatre mois à Montréal, afin d’y étudier le Design graphique et le Print (j’ai quand même réessayé, on sait jamais !) et d’approfondir mon anglais (So now I’m parfaitement bilingue you know). Même si cette expérience m’a beaucoup plu, j’ai préféré rentrer en France, premièrement parce que le fromage me manquait trop et deuxièmement, parce qu’il faut bien que j’obtienne mon diplôme.
Ayant une idée assez précise du style d’agence dans laquelle je souhaitais travailler, je me suis tourné vers Himalaya pour mon stage de fin d’année. Quelques mails et un entretien plus tard, me voici donc stagiaire développeuse dans une super équipe. Que demande le peuple ?

Quel genre de musique t’inspire le plus pour travailler ? Peux-tu en partager une avec nous ?

C’est compliqué pour moi de répondre à cette question parce que quand je travaille, je me fiche pas mal de savoir qui est en train de chanter ou de quel genre de musique il s’agit. Alors généralement, j’avoue que je pioche dans les playlist toutes faites de Spotify. C’est pas un drame, mais ça pourrait briser le cœur de certains musicomanes.
Après si je devais n’en choisir qu’une, celle qui me met de bonne humeur en toutes circonstances, ce serait Candyman de Christina Aguilera. C’est un peu vieux, un peu kitch, c’est ma chanson inavouable, alors me jugez pas s’il vous plaît…
(En prime, un clip de qualité supérieure !)

Qu’est-ce qui te passionne le plus dans ton métier ?

Le fait de réussir à faire marcher un site web. Je trouve qu’il y a un petit côté magicien assez jouissif. Une petite ligne de code et bim ! Tout est là, tout s’affiche, tout fonctionne. Et aussi parce que j’aime bien me triturer les méninges sur des problèmes un peu compliqués.

Quel gif te représente le mieux ?

Dans la vie de tous les jours, je suis extrêmement maladroite. Un peu brute de décoffrage tu vois le genre ? Du coup j’ai un peu tendance à faire n’importe quoi, du style me prendre les pieds dans les marches ou faire tomber mon mille-feuilles par terre. Donc clairement, je pense qu’on résume bien la situation là.

Sur le web, quelle vidéo te fais le plus rêver ?

Alors là, on s’attaque à une de mes passions : l’Escrime. Cette vidéo, c’est de la bombe. En deux mots, il s’agit d’une société japonaise qui souhaite améliorer la perception de ce sport, que ce soit pour le grand public ou pour les arbitres. Tout cela est rendu possible grâce à des capteurs et à des traînées lumineuses. Le résultat est juste à couper le souffle et la musique de fond donne ce petit côté épique que j’affectionne tout particulièrement.

Un secret à partager avec nous ?

Je suis une grande fan de Danse avec les Stars. Voilà. C’est dit. J’aime tout dans cette émission : la musique, les lumières, les tenues à paillettes, l’énergie qui se dégage… Je trouve ça super cool, ça ambiance mes samedis soir et parfois on apprécie même de redécouvrir de vieilles musiques complètement nulles. C’est pas beau ça ? Alors évidemment, tu imagines bien que j’adorerais savoir danser comme une queen. Malheureusement, j’ai la grâce d’un cygne en fin de vie. On va donc s’arrêter là.

Pourquoi travailler avec l’agence Himalaya ?

J’ai toujours imaginé mon futur travail dans une super agence, dans un endroit super inspirant, avec des gens super sympas. Là, dès l’entretien on sent que c’est le cas. Beaucoup de personnalités, une super ambiance : on se sent tout de suite parfaitement à l’aise.
C’est également important pour moi d’en apprendre toujours plus, de toujours évoluer vers le mieux. Et je pense que je vais être servie à ce niveau-là.
Donc en bref, c’est vraiment que du bonheur d’être ici !